Santé & communauté : Décembre 2015

Décembre 2015

À ma chère communauté d'Aylmer,

Depuis des mois maintenant que je suis bouleversée en voyant ce que nos frères et sœurs de l’autre côté du monde sont en train de vivre (en Syrie, en Iraq, etc.) J’ai décidé que je ne pouvais plus attendre que d’autres agissent et que je devais faire quelque chose de concret afin d’aider ceux et celles qui se trouvent dans cette situation.  Je suis présentement à la recherche de personnes qui désirent s’impliquer avec moi et former un groupe dans le but de parrainer une famille syrienne et de les aider à s’installer ici, à Aylmer. Si vous désirez participer à ce projet, veuillez vous joindre à ma page Facebook : Outaouais Citizens for Refugee Sponsorship et me contacter soit par téléphone ou par courriel.  Je tiendrai une rencontre dans un avenir rapproché avec les gens intéressés à se joindre au groupe afin de communiquer toute l’information sur le processus que j’ai pu obtenir.  Merci à l’avance de partager avec quiconque vous pensez pourrait être intéressé.

Contactez : Amélie  Gervais tél: 819-328-3005
ameliegervais@gmail.com

Si vous n'avez pas encore entendu parler de cette initiative, prenez le temps de lire l'extrait suivant tiré du site web présentant ce projet :

 

"25 000 tuques, c’est l’idée de fabriquer une tuque pour la remettre à un réfugié avec un petit mot d’accueil personnalisé glissé à l’intérieur par le « tricoteur ».

 

Un cadeau de bienvenue, de personne à personne.

Oui, c'est pas mal symbolique. C’est le même principe que les tuques des nouveaux nés qu’on accueille dans la vie et c’est aussi parce qu'on veut une société tricotée mieux que ça...
Non, ça n'exempte pas de poser d'autres gestes. 
C'est une petite façon d'accueillir des individus, de rendre notre rapport plus direct et humain. 

Traîner son tricot, ça aide. Ça nous aide à se sentir un peu moins impuissants et ça peut tenir quelqu'un au chaud. 

Notre tricot, notre temps, notre attention, c’est un geste concret qui bat toutes les pétitions.

C'est humble, mais ça donne le temps de jaser, de penser, d'aimer un peu mieux. 

Ça prend 2 heures pour tricoter une tuque simple avec des broches moyennes. Deux heures réparties quand t'as le temps, dans le métro, à la maison... À ce rythme-là, on va pas inonder le Québec de tuques: on va prendre deux heures pour accueillir quelqu'un. Pour moi, je sais pas ce que tu en penses, mais c'est déjà tellement mieux que rien."

Voir reportage de Radio-Canada à ce sujet en cliquant ici
Consultez leur site web ici
Il y a plusieurs points de dépôt pour aller porter vos tuques, à Gatineau et Ottawa. Consultez la carte ici

Le Yoga et les arbres.

Les relations familiales et la période des fêtes.

Décembre 2015

Par Céline Cloutier et Hafiz

Avec le temps des fêtes qui approche à grands pas, nous pensons déjà peut-être un peu plus à la famille, aux moments tant attendus de revoir nos proches, venant de tous les coins du pays ou de par delà les mers. L’idée même de retourner dans la famille éveille le souvenir de l’odeur merveilleuse émanant de la cuisine, de la joie de retrouver les traditionnelles décorations, de l’ambiance chaleureuse autour de la grande tablée, du réconfort d’échanger nos tendres caresses et de rire aux éclats.

Mais pour certains, les fêtes viennent plutôt réveiller des sentiments d’anxiété et de tension. Le portrait des fêtes n’est pas nécessairement agréable, il peut être plutôt déroutant et inquiétant. Dans les familles, soit entre parents, partenaires et enfants, il y a possiblement des blessures, des sentiments encore douloureux, des ruptures : les relations familiales ne sont pas toujours évidentes.

Les souvenirs, les relations ambiguës et les non-dits peuvent nous affecter profondément lors des rencontres durant ce temps de l’année. Même si nous savons aussi, au fond de nous-mêmes, que la famille prend une grande place dans nos vies, car elle est issue de racines profondes dont nous faisons partie.

Vous vivez peut-être des difficultés familiales? Il se peut que vous ayez travaillé fort pour résoudre des problèmes, pardonner, vous détacher et vivre votre vie paisiblement (mais une fois que nous réalisons qu’il y a un attachement profond, quoi que nous fassions pour s’en détacher ou s’en protéger, le lien reste). Parfois, seul le temps peut assouvir les blessures, surtout lorsqu’il y a eu rupture et en particulier lorsque nous ne comprenons pas les événements. Nous sommes habités par la colère et nous nous sentons incapables de résoudre le problème.

Souvenons-nous que le seul endroit pour atterrir, c’est le cœur, en le gardant ouvert, puisqu’il est aussi grand que l’univers et rempli d’amour. Le cœur est si grand qu’il peut contenir plus de 6 milliards d’individus. Ne doutez jamais de la puissance du cœur. Sa magie est grande.

De là l’importance de faire face à nos peurs, dont celle de rencontrer des membres de la famille avec qui nous vivons des peines, des conflits et des blessures. 

Pour nous aider à composer avec ces expériences, nous avons préparé l’essence RELATIONS FAMILIALES. Cette combinaison d’essences d’arbres semble aider à ouvrir notre cœur et favoriser la possibilité d’ouvrir un dialogue avec les gens autour de nous. Cette essence encourage la cicatrisation de nos blessures et l’apaisement de nos peines. Le plus incroyable bienfait de cette essence est de constater que même si vous êtes la seule personne à la prendre, le monde autour de vous se transforme. Pourquoi? Parce que nous sommes tous connectés. Nous pensons parfois, « si seulement il ou elle changeait, les choses seraient beaucoup plus faciles. » Mais la transformation commence par soi, en soi et par conséquent, le monde autour de soi se transforme aussi.

Nous vous souhaitons, à vous et à vos familles, paix, bonheur, amour et  béatitude pendant la période des fêtes et nos meilleurs vœux pour le Nouvel An!

Le mois prochain la vibration de janvier et ses arbres!

Avec tout notre cœur,

Céline et Hafiz

Essences des arbres du Canada  

www.essences.ca

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